
5.501€, BIEN VISE !
Notre préfinancement sur Ulule.fr s’est terminé ce dimanche 12 janvier et nous atteignons le dernier palier qui déclenche les goodies pour chacune et chacun !
J’ai bien compris que vous vouliez tester ma capacité à délivrer courant mars 2025 les livres promis en rajoutant une petite couche avec quelques goodies, c’est de bonne guerre !
Surtout, NOUS y sommes arrivés !
Et c’est un VRAI « NOUS » parce que sans vous, je n’en serais certainement pas là.
2025 part donc sur les chapeaux de roue pour ce qui n’était au départ que l’occasion de concrétiser un de ces projets qui tiennent à cœur mais qui portent l’étiquette « dès que j’aurai un peu de temps« .
BON SINON, ILS EN SONT OU CES LIVRES ?
Les illustrations ont été livrées début janvier (j’avais un peu anticipé comme annoncé).
Les trois relecteurs ont fait leurs retours : ceux de la première relectrice ont été intégrés et je dois clore le manuscrit en intégrant les commentaires des deux autres.
Ensuite, il faudra faire la maquette du livre et c’est le sujet sur lequel j’ai le moins de visibilité à l’heure actuelle. En effet, deux amis hyper-compétents se sont proposés de me donner un coup de main, mais j’ai décidé d’apprendre à le faire moi-même, sous leur œil bienveillant j’espère (vous l’espérez aussi, je l’ai bien compris).
Enfin, on imprime et on distribue. La moitié des livres partira par courrier, l’autre sera donnée sur place et ce sera le moment de vous revoir avec grand plaisir.
MAIS POURQUOI DONC VEUT-IL FAIRE CETTE MAQUETTE LUI-MEME ?
C’est un peu de votre faute, il faut quand même que ce soit écrit quelque part.
Quand j’ai fini la première version du manuscrit en juillet dernier, j’ai contacté quelques éditeurs dont certains ont été réellement intéressés par le projet mais à des conditions « classiques » qui font porter à mon sens une grande partie du risque éditorial sur les épaules de l’auteur.
Echanges riches pour m’inculturer dans ce nouveau métier, mais l’entrepreneur que je suis depuis 18 ans a dû décliner poliment ces offres de contrat.
Je suis donc devenu auteur – éditeur. L’implication immédiate de cette phrase est que j’ai dû trouver comment faire illustrer le livre, comment le faire corriger, comment le vendre, comment le faire imprimer, comment le livrer… et comment en faire la maquette. C’est la dernière compétence qui me manque pour devenir éditeur, je crois.
Et pourquoi devenir éditeur, me demanderez-vous ?
Parce que ce livre n’est certainement pas le dernier que je pense écrire… Si tout va bien, en avril se lance un 2ème projet dont je vous parlerai en temps et en heures.
Vous l’avez bien cherché ! (Et merci du fond du cœur pour ça 😀 )
ET SI MON VOISIN VEUT COMMANDER SON EXEMPLAIRE ?
Le présent lien Ulule.fr redirigera vers notre propre boutique en ligne.
Le livre est désormais en vente sur notre site Internet : http://financiere-florentine.fr/boutique au prix de 29,50€TTC (soit 28€HT comme indiqué lors du financement participatif).
Livraison en mars 2025 comme pour vous.
N’hésitez pas à continuer d’en parler autour de vous !
Quels risques l’auteur perçoit-il dans les conditions « classiques » proposées par certains éditeurs ?
Le « risque » mentionné dans cet article est le risque éditorial, à savoir le risque du financement de l’édition : production et distribution.
Editer un livre représente un coût fixe et donc une perte potentielle si le livre, au début de sa commercialisation, ne trouve pas son public.
J’écarte donc ici un autre risque, pourtant essentiel, que constitue la barrière de compétence pour de nombreux auteurs qui n’ont pas la moindre idée de comment faire pour produire ou distribuer un livre.
Dans ce dernier cas, la question ne se pose pas, il faut un éditeur et le contrat « classique » peut faire sens.
Cependant, si un auteur se sent de prendre le risque d’autoédition, comme moi (sans doute poussé par 20 ans d’expérience dans l’entrepreneuriat / l’investissement), les contrats « classiques » présentent très peu d’intérêt économique.
Dans mon cas les éditeurs se sont engagés à un tirage minimum (le même – ce qui confirme que le contrat est classique), mais suffisamment faible pour que je puisse l’atteindre par mes propres moyens.
Dès lors, pourquoi ne pas garder mes droits et la rémunération de mon travail ? Un financement participatif heureux m’aura donné raison (merci encore à toutes et tous).
Finalement, je peux écrire que je serais vraiment ravi de travailler avec un éditeur sur un autre projet si celui-ci prend le « risque » (commercial, tirage minimum) de me faire atteindre un public tout à fait hors de ma portée tout autant que j’ai fait le choix le plus judicieux d’autoéditer ce premier ouvrage et de garder tout le fruit de mon travail.
Ces remarques sont d’autant plus sincères que les éditeurs avec qui j’ai échangé ont démontré un vrai professionnalisme et une réelle bienveillance à mon égard ; la pierre d’achoppement était simplement économique.